Géraldine, la trentaine, avait un goût très prononcé pour la fessée. Elle gardait dans sa mémoire les souvenirs de quand son père, son grand père ou ses instituteurs n'hésitaient pas à fesser les vilaines petites filles. Même le curé du village donnait la fessée si on n’apprenait pas au catéchisme.

Maintenant, à 30 ans, elle rêve souvent éveillée qu'un monsieur plus âgé la prends sur ses genoux et lui claque le derrière comme une sale gamine. Jamais ses quelques amoureux n'étaient branchés par la pratique. Puis elle s'est dit que finalement, peut être qu'aller sur un forum fessée lui permettrait de localiser quelqu'un. Quelqu'un comme son voisin, séduisant divorcé, la cinquantaine virile.

Au bout de quelques jours de chat, elle débute une conversation avec un homme de 54 ans, ingénieur qui vient de se séparer de sa femme. Il adore donner la fessée aux jeunes dames qui se comportent mal. Plein d'humour, il la séduit totalement, tant et si bien qu'ils décident de se rencontrer dans un café afin de discuter un peu plus et voir si il n'y aurait pas moyen que la jeune femme se retrouve en travers de ses genoux.

Elle est arrivée la première. Elle lui avait dit qu'elle porterait une robe orange. Pour lui c'était jean/chemise. Elle se plongea dans son livre en attendant qu'il arrive. Soudain, une ombre est apparue au dessus d'elle. Elle leva la tête et blêmit.

Son voisin. Le beau divorcé qui habite la porte en face de la sienne, se tenait debout devant elle, vêtu d'un jean et d'une chemise. Elle ne savait pas quoi faire. Paniquer, se sauver, quelle honte!

Il s'est assis et lui a souri. "C'est marrant, il y a quelques temps, je me suis dit que c'est à une fille comme vous que j'aimerais flanquer une bonne fessée après vous avoir croisé dans le hall et après que vous m'ayez bousculé."

"Je suis désolée Monsieur, dit elle en rougissant"

"c'est Pierre, et ne le soyez pas, c'est une rencontre originale non?"

"Je suppose" Elle ne savait toujours pas quoi faire. Mourir de honte, ou se dire que finalement, en plus d'avoir rencontré quelqu'un qui lui plait, elle l'avait en plus à portée de main.

Ils ont discuté longuement. De fessée, du cadre qu'ils allaient donner au jeu. Quelles étaient leurs limites. Scénario? Tout est passé en revue. Puis ils sont rentrés, ensemble. Arrivés sur le palier, ils ont hésité, chez elle ou chez lui? Ce sera chez lui. Après lui avoir fait visiter l'appartement et sa sublime terrasse, il a pris un ton ferme.

"Tu sais pourquoi tu es ici?"

Elle baissa la tête. "Oui"

"je t'écoute!"

"vous allez me punir pour avoir été négligente dans mon travail et m'être comportée comme une petite fille capricieuse"

"comment est ce qu'on puni les filles capricieuses Géraldine?"

"par une...."

"Une quoi?"

"Une fessée, monsieur"

"exact, et une fessée comment?"

"Déculottée, monsieur"

"tout à fait! Tu vas aller te mettre au coin pendant que je vais chercher le martinet dont j'aurais besoin pour t'aider à comprendre la leçon après la fessée sur mes genoux!"

Elle obéit et alla coller son nez dans un coin de la pièce. Peu de temps après, il est revenu et à posé une chaise au milieu de la pièce.

"Viens ici!"

Elle avança, lentement vers son bourreau.

"Allonge-toi sur mes genoux"

Une fois en position, il n'a pas perdu de temps et à commencé à lui asséner des claques sur la robe. Elle avait plus honte que mal mais elle sentait quand même une certaine chaleur. Après quelques minutes, il a relevé la robe et découvert une petite culotte noire, de type shorty qui recouvrait bien les fesses de la jeune demoiselle.

"Tu es maligne! Tu as mis une culotte qui protège bien ton petit derrière, mais tu sais, elle va tomber incessamment sous peu" et il recommença ses claquées. Les claques se faisaient plus douloureuses et elle gémissait de honte. Puis, vint le moment. Il lui fis la morale pendant quelques minutes sur son comportement et attrapa l'élastique du shorty. Elle mit sa main, machinalement pour l'en empêcher. Elle récolta une claque.

Il a baissé la culotte jusqu'à mi cuisse. Elle aurait pu crever tellement elle avait honte. Il recommença la fessée et là, elle ne put s'empêcher de pleurer de douleur. Il a fessé, fessée, et fessé ce joli petit cul jusqu'à ce qu'il soit écarlate. Puis, il lui a massé le derrière tendrement.

"Ta punition est presque finie"

"relève toi et penche toi sur le dossier de la chaise"

Elle le supplia de ne pas la fouetter au martinet, lui dit que la leçon était retenue

"quand je décide d'une punition, je la donne jusqu'au bout jeune fille"

Elle dut se résoudre à se pencher sur la chaise et à offrir ses fesses endolories au cinglades du martinet. 10 coups se sont abattus sur son derrière. Elle hurla pour chacun d'eux. Une fois la fessée terminée il l'a envoyé au coin culotte toujours sur les genoux et mains sur la tête. Elle y est restée 10 minutes.

Quand il a levé la punition, il lui a fait la morale une dernière fois. Elle était encore déculottée quand il s'est tenu devant elle lui promettant bien d'autres fessées si son comportement ne changeait pas. Quand il l'a autorisée à remonter sa culotte, elle pleurait comme une enfant en se frottant les fesses. Attendri, il l'a prise dans ses bras et lui a promis qu'il s'occuperait d'elle.

Et ce fut le cas pendant encore très longtemps.

Stéphanie

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